La station de Gréoux-les-Bains traite deux orientations : les affections rhumatismales et les problèmes des voies respiratoires.
La double orientation thérapeutique, rhumatologie et voies respiratoires, bénéficie de ces eaux très profondes (1500 m) chargées d’oligo-éléments qui ont des effets particulièrement bienfaisants sur tout l’organisme.
Riches en soufre (apaisant et cicatrisant) et en magnésium (excellent pour les cartilages, et la tonicité de la fibre musculaire), elles émergent à une température idéale de 42°C, ensuite refroidie pour l’utilisation en soins.
Les résultats bénéfiques de la cure peuvent perdurer encore plus de 9 mois après la cure.
Ainsi, de retour à votre domicile, vous retrouvez plus d’autonomie dans les gestes de la vie courante, une meilleure qualité de vie et consommez moins de médicaments et de soins médicaux.
La cure thermale agit également en prévention des phases d’aggravation de la pathologie et des symptômes.
9 mois après la cure, près de 80% des curistes ont un meilleur sommeil, montent et descendent mieux les escaliers.
La douleur est moindre de 26% en moyenne.
70% d’entre eux notent encore après 9 mois une amélioration de leur périmètre de marche sans douleur et de leur niveau d’activités quotidiennes.
« Ce que me disent les patients, c’est qu’ils seraient très diminués sans la cure thermale et condamnés à rester à la maison. C’est la raison pour laquelle ils reviennent chaque année faire la cure qui va leur permettre de vivre une année de plus dans de bonnes conditions » Dr Alain Garcia.
Les soins thermaux pour les affections des voies respiratoires sont très efficaces ; on peut même attendre la guérison complète pour certaines pathologies après quelques cures.
« Dépendant pendant plus de 20 ans d’un traitement antihistaminique pris chaque jour, pour une rhinite allergique, une cure thermale deux années de suite m’a libéré définitivement de ma prison médicamenteuse ». Dr A. Garcia
La fréquence et l’intensité des crises d’asthme est réduite de 18% en moyenne encore 9 mois après la cure. De même, les curistes atteints de bronchites chroniques ou BPCO ont moins d’épisodes de surinfection bronchique, moins de difficultés respiratoires dans les mois qui suivent la cure thermale. Une majorité de curistes consomme moins de médicaments, leur gêne respiratoire est moindre (- 20% en moyenne 9 mois après la cure) et de ce fait ils sont moins limités dans les actes courants de la vie.
72 séances de soins ciblés, avec ou sans mobilisation en piscine :
54 séances de soins ciblés :